Nombreux sont les politiques qui
voudraient confiner les abstentionnistes dans une posture d'irresponsables à
l'aide d'arguments qui n'ont aucune autre teneur que leurs hostilités
circonstanciées envers ce courant devenu majoritaire durant les
différentes élections Française.
Ils
fustigent ainsi ceux qui osent défier leur autorité
d'élus en refusant obstinément d'être soumis aux règles faites uniquement
pour conforter les pouvoirs d'une caste d'intouchables qui abusent des
privilèges du mandat qu'ils ne respectent en aucune façon en trahissant les
électeurs.
Ils ont même l'insolence de faussement
s'interroger sur les
raisons qui motivent les abstentionnistes alors qu'ils savent pertinemment pourquoi
près de la moitié des électeurs rejettent un système électoral qui ne répond plus
aux aspirations
citoyennes légitimes, en protégeant des incapables ou des délinquants.
Pourtant les motifs pour
expliquer cette volonté de rejet
électoral sont nombreux et évidents.
Tout d'abord les
effets déplorables des décisions prises par les pouvoirs qui dirigent la
France depuis plusieurs décennies sont difficiles, voire impossibles, à approuver
car ces choix sont véritablement à l'origine de tous les troubles importants que nous connaissons
actuellement.
Que ce soit à propos de
l'économie, de la sécurité, du
lien social, de l'emploi, de la santé, de l'éducation ou de la gestion
du pays en général on ne peut que déplorer une accumulation d'échecs considérables
dont il faut attribuer les responsabilités à nos élus qui, par incapacité ou
opportunisme, ont sacrifié le bien commun du pays dans son ensemble sur l'autel
de leurs seules carrières.
Des élus qui par ailleurs ne
risquent rien puisqu'ils sont sous la protection de cette démocratie qui leur donne
des pouvoirs sans contraindre à des résultats ou à des devoirs, aucune condamnation
ne sanctionne leurs fonctions ou leurs personnes en cas de malversations avérées
et ils peuvent même être reconduits
voire promus à leurs postes comme si rien ne pouvait leur être reproché.
Les exemples qui prouvent le
contraire de ce scandale sont de rares exceptions qui ne suffisent pas pour
garantir efficacement l'incorruptibilité
indispensable des missions nationales sont confiées lors d'une élection, toutes
les récidives accablantes commises par les élus
démontrent qu'ils ne sont en aucun cas assez dissuasifs.
Tout se passe comme si les
suffrages étaient un passe droit qui dispense de la loi et bien trop de représentants
du peuple abusent de cette injustice, il est impératif de soumettre
les élus aux lois pour que cesse ces impunités pour qu'ils puissent être
condamnés en cas d'infractions et que soit prononcée l'invalidation de leurs élection
assortie d'une suppression de leurs
avantages financiers ainsi que d'une interdiction
de droits civiques.
C'est en fait une véritable caste
de hors la loi qui dirige le pays, la constitution doit changer pour empêcher
les erreurs qui ont abouti à ne plus respecter la république pour lui préférer
les cartels de toutes natures qui utilisent des politiciens pour conforter des
intérêts exclusivement impérialistes qui veulent soumettre la planète entière aux
règles d'un marché qu'ils contrôlent.
La moindre des qualité d'un
responsable politique devrait être une loyauté
indéfectible envers les citoyens qui attendent de lui un comportement vertueux
mais ces souhaits ne font pas partie de la réalité judiciaire, comme
le démontrent les nombreuses et vaines mise en examen des élus de toutes les
tendances.
En mettant fin aux corruptions et
aux trahisons des élus le peuple et la république élimineraient beaucoup des
tragédies qui mutilent son quotidien et détruisent les valeurs sociales
mais il ne semble pas que les électeurs partagent cet avis radical puisqu'ils
continuent de d'offrir
leurs voix aux politiciens félons.
C'est un véritable drame de voir
combien l'aveuglement est profond dans cette population, qui nie l'évidence et
continue de voter pour des délinquants,
qui rejette une participation aux débats
fondamentaux dont elle dépend, qui refuse de s'impliquer ou pire qui
collabore aux excès commis par les politiques.
Rien ne changera tant que les
citoyens ne prendront pas le pouvoir qui lui a été confisqué au nom d'un
système pseudo démocratique
qui n'est plus qu'un leurre qui leur fait croire en des chimères et leur évite aussi
de devoir responsabiliser leurs actes au sein d'une république
qu'ils ont en définitive abandonné.
Finalement c'est l'électeur
qui est le réel coupable de cette situation politique désespérante, parce qu'il
offre une irresponsabilité à ceux pour qui il vote, parce qu'il accepte l'intolérable en le déplorant entre
deux tours, parce qu'il confie son destin à des incapables corruptibles pour ne
pas devoir s'en soucier.
Les non suffrages de l'abstention
sont largement majoritaires mais cette contestation d'un système électoral
inadapté, par le déni des urnes, n'est pas démocratiquement reconnue et cette
situation paradoxale ne cessera que la si constitution
permet aux électeurs, mécontents des choix qui leur sont imposés, de devenir
enfin des citoyens à part entière en les intégrant aux résultats.
Le pourcentage
indispensable pour gagner une élection devra lui aussi être repensé
constitutionnellement afin qu'il soit plus conforme à la réelle majorité d'un
peuple, l'actuel taux appliqué n'est pas suffisant et ne peut plus représenter
vraiment le palier acceptable pour créer un consensus avec une opposition
légitime.
La démocratie peut devenir
démocratique en moralisant les devoirs de ceux qui sont censés la représenter,
cela ne se pourra que par un référendum d'initiative populaire qui proposera en
tout premier lieu que le vote devienne obligatoire à la
condition que les votes
blancs soient reconnus comme des suffrages valides.
Le président de la République a décrété l’état d’urgence, mettant en œuvre la loi n° 55-385 du 3 avril 1955, plusieurs fois amendée. L’état d’urgence avait été décrété le 8 novembre 2005, lors des émeutes de banlieues, pour 24 départements, et n’avait été levé que le 4 janvier 2006. Il y avait eu des précédents en Algérie en 1955, 1958 et 1961, et en Nouvelle-Calédonie, en 1985. C’est la première fois que l’état d’urgence est décrété sur l’ensemble du territoire national Voici notre nouveau régime intérieur. Article 1 L'état d'urgence peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain, des départements d'outre-mer, des collectivités d'outre-mer régies par l'article 74 de la Constitution et en Nouvelle-Calédonie, soit en cas de péril imminent résultant d'atteintes graves à l'ordre public, soit en cas d'événements présentant, par leur nature et leur gravité, le caractère de calamité publique.
Article 2 L'état d'urgence est déclaré par décret en Conseil des ministres. Ce décret détermine la ou les circonscriptions territoriales à l'intérieur desquelles il entre en vigueur. Dans la limite de ces circonscriptions, les zones où l'état d'urgence recevra application seront fixées par décret. La prorogation de l'état d'urgence au-delà de douze jours ne peut être autorisée que par la loi.
Article 3 La loi autorisant la prorogation au-delà de douze jours de l'état d'urgence fixe sa durée définitive.
Article 4 La loi portant prorogation de l'état d'urgence est caduque à l'issue d'un délai de quinze jours francs suivant la date de démission du Gouvernement ou de dissolution de l'Assemblée nationale.
Article 5 La déclaration de l'état d'urgence donne pouvoir au préfet dont le département se trouve en tout ou partie compris dans une circonscription prévue à l'article 2 : 1° D'interdire la circulation des personnes ou des véhicules dans les lieux et aux heures fixés par arrêté ; 2° D'instituer, par arrêté, des zones de protection ou de sécurité où le séjour des personnes est réglementé ; 3° D'interdire le séjour dans tout ou partie du département à toute personne cherchant à entraver, de quelque manière que ce soit, l'action des pouvoirs publics.
Article 6 Le ministre de l'intérieur dans tous les cas peut prononcer l'assignation à résidence dans une circonscription territoriale ou une localité déterminée de toute personne résidant dans la zone fixée par le décret visé à l'article 2 dont l'activité s'avère dangereuse pour la sécurité et l'ordre publics des circonscriptions territoriales visées audit article. L'assignation à résidence doit permettre à ceux qui en sont l'objet de résider dans une agglomération ou à proximité immédiate d'une agglomération. En aucun cas, l'assignation à résidence ne pourra avoir pour effet la création de camps où seraient détenues les personnes visées à l'alinéa précédent. L'autorité administrative devra prendre toutes dispositions pour assurer la subsistance des personnes astreintes à résidence ainsi que celle de leur famille.
Article 7 Toute personne ayant fait l'objet d'une des mesures prises en application de l'article 5 (3°), ou de l'article 6 peut demander le retrait de cette mesure. Sa demande est soumise à une commission consultative comprenant des délégués du conseil départemental désignés par ce dernier. La composition, le mode de désignation et les conditions de fonctionnement de la commission seront fixés par un décret en Conseil d'Etat. Les mêmes personnes peuvent former un recours pour excès de pouvoir contre la décision visée à l'alinéa 1er ci-dessus devant le tribunal administratif compétent. Celui-ci devra statuer dans le mois du recours. En cas d'appel, la décision du Conseil d'Etat devra, intervenir dans les trois mois de l'appel. Faute par les juridictions ci-dessus d'avoir statué dans les délais fixés par l'alinéa précédent, les mesures prises en application de l'article 5 (3°) ou de l'article 6 cesseront de recevoir exécution.
Article 8 Le ministre de l'intérieur, pour l'ensemble du territoire où est institué l'état d'urgence, et le préfet, dans le département, peuvent ordonner la fermeture provisoire des salles de spectacles, débits de boissons et lieux de réunion de toute nature dans les zones déterminées par le décret prévu à l'article 2. Peuvent être également interdites, à titre général ou particulier, les réunions de nature à provoquer ou à entretenir le désordre.
Article 9 Les autorités désignées à l'article 6 peuvent ordonner la remise des armes de première, quatrième et cinquième catégories définies par le décret du 18 avril 1939. Les armes de la cinquième catégorie remises en vertu des dispositions qui précèdent donneront lieu à récépissé. Toutes dispositions seront prises pour qu'elles soient rendues à leur propriétaire en l'état où elles étaient lors de leur dépôt.
Article 10 La déclaration de l'état d'urgence s'ajoute aux cas visés à l'article 1er de la loi du 11 juillet 1938 sur l'organisation générale de la nation en temps de guerre pour la mise à exécution de tout ou partie des dispositions de ladite loi en vue de pourvoir aux besoins résultant de circonstances prévues à l'article 1er.
Article 11 Le décret déclarant ou la loi prorogeant l'état d'urgence peuvent, par une disposition expresse : 1° Conférer aux autorités administratives visées à l'article 8 le pouvoir d'ordonner des perquisitions à domicile de jour et de nuit ; 2° Habiliter les mêmes autorités à prendre toutes mesures pour assurer le contrôle de la presse et des publications de toute nature ainsi que celui des émissions radiophoniques, des projections ciné-matographiques et des représentations théâtrales. Les dispositions du paragraphe 1° du présent article ne sont applicables que dans les zones fixées par le décret prévu à l'article 2 ci-dessus.
Article 12 Lorsque l'état d'urgence est institué, dans tout ou partie d'un département, un décret pris sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, et du ministre de la défense nationale peut autoriser la juridiction militaire à se saisir de crimes, ainsi que des délits qui leur sont connexes, relevant de la cour d'assises de ce département.
La juridiction de droit commun reste saisie tant que l'autorité militaire ne revendique pas la poursuite et, dans tous les cas, jusqu'à l'ordonnance prévue à l'article 133 du code d'instruction criminelle (1). Si, postérieurement à cette ordonnance, l'autorité militaire compétente pour saisir la juridiction militaire revendique cette poursuite, la procédure se trouve, nonobstant les dispositions de l'article 24, dernier alinéa, du code de justice militaire, portée de plein droit devant la chambre des mises en accusation prévue par l'article 68 du code de la justice militaire, lorsque la chambre de l'instruction saisie n'a pas encore rendu son arrêt, soit devant la juridiction militaire compétente lorsqu'un arrêt de renvoi a été rendu.
Dans ce dernier cas, les dispositions de l'alinéa ci-après sont applicables, et il n'y a pas lieu pour la Cour de cassation de statuer avant le jugement sur les pourvois qui ont pu être formés contre cet arrêté. Le tribunal militaire est constitué et statue, dans les conditions fixées aux deux derniers alinéas de l'article 10 du code de la justice militaire.
Lorsque le décret prévu à l'alinéa du présent article est intervenu, dans les circonscriptions judiciaires précisées audit décret et pour toutes les procédures déférées à la juridiction militaire, il ne pourra être exercé aucune voie de recours contre les décisions des juridictions d'instruction, y compris l'arrêt de renvoi, à l'exception de l'opposition contre les ordonnances statuant sur une demande de mise en liberté provisoire devant la chambre des mises en accusation, qui statuera dans la quinzaine. Une nouvelle opposition ne pourra être élevée que contre une ordonnance rendue plus de deux mois après une précédente décision de rejet de la chambre des mises en accusation. Les pourvois en cassation contre les décisions des juridictions d'instruction ne peuvent être formés qu'après jugement statuant au fond et, s'il y a lieu, en même temps que le pourvoi élevé contre celui-ci. Ils sont portés devant un tribunal militaire de cassation établi par décret en se conformant aux articles 126 à 132 du code de justice militaire et statuant dans les conditions de forme et de fond prévues aux articles 133 à 155 dudit code.
Aucune voie de recours, même en cassation, ne pourra également être exercée contre les décisions des juridictions d'instruction de droit commun statuant sur des faits prévus audit décret à l'exclusion de l'appel devant la chambre des mises en accusation. Article 13 Les infractions aux dispositions des articles 5, 6, 8, 9 et 11 (2°) seront punies d'un emprisonnement de huit jours à deux mois et d'une amende de 11 euros à 3 750 euros ou de l'une de ces deux peines seulement. L'exécution d'office, par l'autorité administrative, des mesures prescrites peut être assurée nonobstant l'existence de ces dispositions pénales.
Article 14 Les mesures prises en application de la présente loi cessent d'avoir effet en même temps que prend fin l'état d'urgence. Toutefois, après la levée de l'état d'urgence les tribunaux militaires continuent de connaître des crimes et délits dont la poursuite leur avait été déférée.
" La Cour de cassation a
confirmé la condamnation par la cour d’appel de Colmar de 14 militants du
mouvement Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS) à 28 000 euros de
dommages et intérêts aux parties civiles et chacun à une amende de 1 000 euros
avec sursis. Il leur est reproché d’avoir, le 26 septembre 2009 pour les uns
et le 22 mai 2010 pour les autres, participé à une manifestation dans un
magasin Carrefour à Illzach, près de Mulhouse (Haut-Rhin), « appelant au
boycott des produits en provenance d’Israël ». Ils portaient des tee-shirts
avec le slogan « Palestine vivra, boycott Israël » et distribuaient des tracts
aux clients sur lesquels était écrit : « Acheter les produits importés
d’Israël, c’est légitimer les crimes à Gaza, c’est approuver la politique menée
par le gouvernement israélien. »
Il n’a été relevé aucune dégradation, aucune entrave au fonctionnement
du magasin (qui n’a pas porté plainte) ni aucun propos antisémite. Le mouvement
BDS déploie sa stratégie dans de nombreux pays (Grande-Bretagne, Etats-Unis,
Belgique, Allemagne, etc.) au moyen d’appels aux boycotts commerciaux,
universitaires ou culturels pour faire pression sur Israël. "
La justice Française vient d'interdire le boycott des produits en provenance
de l'étranger et donc des colonies
illégales de l'état israélien, c'est le seul pays européen qui a consenti une instruction
aussi radicale envers ce pays, cette subordination prouve indubitablement que
des groupes
influents peuvent imposer à la France de soutenir les actes contraires au
droit international qui sont perpétrés en Palestine.
De tels jugements
ont toujours été considérés par le passé comme des forfaitures et le fait
qu'ils deviennent possibles actuellement démontre sans équivoque le
machiavélisme de l'actuel pouvoir et de ses valets qui interdisent que soit
librement contesté unpays, comme ce fut
le cas en Afrique
du sud et ailleurs.
Ce soutien
inconditionnel est par ailleurs prôné par de très nombreux membres de
l'actuel gouvernement Français qui expriment leur attachement éternel au sionisme
et à des valeurs résolument contestées par
l'ONU.
Notre fidélité
démocratique réclame que nous ne contrarions pas ces élus qui collaborent
activement en critiquant leurs complaisances avérées envers un étatmandataire, grâce à son actuel gouvernement,
d'une doctrine ouvertement d'extrême
droite.
Le message qui suit
est destiné à cet objectif et il ne pourra pas être confondu avec une
quelconque volonté de mise en
quarantaine des intérêts du sionisme ou de son admirable volonté de
construire, sur des terres appartenant aux Palestiniens, un paradis inspiré
par dieu lui-même.
Afin de davantage collaborer
àl'occupation
permanente de la presque totalité des territoires Palestiniens, achetons le
plus possible les produits qui participent à la confiscation
de toutes les terres d'un peuple qui se prétend abusivement opprimé par une
colonisation qui perdure depuis 1948 sous prétexte que
le projet sioniste engendre des usurpations et des dégâts
collatéraux mineurs, qu'ils estiment injustes.
Pour aider à soutenir
inconditionnellement le gouvernement dépositaire des volontés
du sionisme le plus pur et de ses si nobles conséquences,
un site courageux a récemment publié une liste complète des articles et des
marques qui participent àmaintenir par la
force et l'autorité l'appropriation finale et complète d'un pays qui lui appartient
comme l'attestent certains textes égarés.
( Espérons que personne n'aura l'audace de se servir de ces précieuses données pour les utiliser à contrario des buts souhaités par ces ardents défenseurs du "made in israel" en France. )
Vous pourrez ainsi
servir loyalement la
cause morale des guides formidables qui actuellement ne font que continuer
avec héroïsme le dessein divin de celui qui offrit à son peuple élu une grande
nation dans laquelle tous les descendants de sa tribu pourraient enfin vivre
en paix.
Comme le dit si
justement la morale populaire, on ne fait jamais de bonnes omelettes sans
casser des tas d'oeufs, surtout lorsque ceux-ci ont l'insolence
et la grossièreté de s'opposer avec une obstination maladive à l'établissement
d'une majestueuse zone de liberté et de bonheur dans un désert auparavant si hostile.
C'est grâce à
l'effort financier du plus grand nombre qu'une réponse forte et radicale sera
enfin faite aux inhumaines
pierres lancées par ces enfants qui depuis trop longtemps blessent les
héroïques gardiens de la paix enfin retrouvée de tous ceux qui sont la
mémoire vivante d'un génocide dont chacun sait l'horreur.
Offrons ensemble à
ces glorieux soldats d'un pays
sans frontièresl'indispensable équipement
militaire pour répondre avec efficacité aux injustifiables provocations de ces Palestiniens qui osent
défier leurs uniformes.
Achetons sans modération
aucune des marchandises aux sociétés et aux
pays susceptibles de reverser une part importante de leurs bénéfices et contribuer
ainsi à faire cesser le terrorisme dont est victime chaque jour la seule réelle démocratie du
moyen orient.
Les liens su Internet
qui concernent ce conflit
qui perdure ne manquent pas, ils sont le reflet de l'actualité et devraient
amplement vous informer pour vous ne succombiez pasà un odieux boycottdorénavant interdit en France par la
justice.
Un blocus commercial et culturel dont les
racines ne peuvent évidemment être nourries que par la haine d'une population persécutée depuis toujours et
certainement pas pour participer activement à faire cesser la colonisation et
l'occupation de la Palestine qui dure depuis trop longtemps.
Ca doit
être génial d'être raciste. Franchement, j'aimerais bien l'être. Je rigole pas.
Parce que quand t’es raciste, tu sais toujours qui est
le coupable et pourquoi se fatiguer à chercher, ce sont toujours les mêmes.
Quand t’es raciste, tu te sens super intelligent car
tu trouves des solutions super simples aux problèmes complexes. Yaka couler les
bateaux, tous les renvoyer chez eux, interdire l’Islam au nom de la liberté
d’expression. Et zou, c’est réglé. O toi le raciste, comme je t’envie tes
belles évidences tranquilles alors que je gaspille mon temps à douter de tout.
Quand t'es raciste, tu trouves le moyen d'avoir
raison chaque jour. T’es un peu déçu quand c’est un belge-catho-blanc qui a
braqué Mémé, mais tu trouves vite une occasion de te consoler.
Quand t'es raciste, t’es un vrai résistant et ceux
qui pensent pas comme toi sont soit des Bisounours soit des bobos, soit des
collabos, alors que toi, tu es extra fort et puissant. Y a plus qu’à passer à
l’action.
Quand t’es raciste, tu es un homme, un vrai, parce
que tu sais ce qu’il faut faire mais que les hommes politiques n’ont pas de
couilles. Et puis quand t'es raciste, t'es aussi voyant extra lucide car tu
connais l'avenir de l’Europe si ON ne fait rien très vite. Alors que moi,
j’arrive pas à prédire le temps qu’il fera demain même après avoir lu la météo.
Ce qui est formidable dans la vie d’un raciste,
c’est que tu peux être à la fois raciste et victime du racisme. Rien ne
t’empêche de faire partie d’une minorité et d’en maudire une autre. Qu’est-ce
que ça doit défouler.
Quand t’es raciste, tu connais pas la honte car tu
dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Et c’est là qu’on voit que
t’es vraiment costaud, parce que moi, je sais pas ce que les autres pensent et
j’aimerais bien avoir aussi ce super pouvoir.
Quand t’es raciste, tu dois jamais te poser les
questions qui font mal vu que quand quelque chose va de travers, c’est
forcément quelqu’un d’autre qui doit changer et pas toi. Ca, ce sont de vraies
vacances.
Et puis t’es pas raciste, t’es islamophobe et ça
c’est plus fort que fort. Parce qu’une phobie, c’est une névrose caractérisée
par une peur irraisonnée et incontrôlable d’un danger inexistant. Je t’envie
trop parce que moi, mes désordres mentaux, je fais tout ce que je peux pour pas
trop les montrer alors que toi tu réussis à en faire un drapeau.
Quand t'es raciste, la vie est simple parce que tu
peux mettre tous les (n'importe quel groupe) dans le même sac sans te sentir
affreusement con alors que moi, dès que je fais une simple généralité je me
trouve débile.
Aidez-moi les gars, je cherche un groupe ethnique à
haïr. Ouvert à toute proposition. Et si toi aussi, tu voudrais devenir raciste
mais que tu y arrives pas, partage.
( Merci à Philippe Dylewski pour ce texte radical qui illustre si bien la raison principale des réactions honteuses et pitoyables d'une partie de ces Français, souvent aux origines indistinctes, qui osent juger négativement l'actuelle détermination de ces malheureux réfugiés qui tentent de fuir les terribles conditions de vie globalement engendrées par les conséquences nuisibles de l'interventionnisme occidental qu'ils supportent dans leurs différents pays. )
Les actuels cadres du parti
socialiste sont emblématiques d'un très grave trouble qui consiste dans leur
cas en une extrême confusion
entre leur gauche et leur droite, il est facile de constater que depuis leur
élection ce handicap majeur s'aggrave et que nul ne peut dire si il pourra un
jour être guéri tellement il est devenu invalidant.
Pourtant pendant toute la campagne électorale qui avait servi à le
propulser aux affaires le pitoyable champion désigné par les militants du PS n'avait
pas été avare de promesses sociales qui laissaient présager une véritable rupture
d'avec la politique droitière de son excité de prédécesseur, ses tirades
grandiloquentes qui désignaient la finance comme un ennemi sont encore dans
toutes les mémoires de ceux qui ont eu la
faiblesse de croire en lui.
De beaux discours qui n'étaient en
fait que des mensonges électoraux puisque trois années plus tard il ne reste
d'eux qu'une sordide trahison prouvée par une gouvernance
libérale avérée qui n'a cessé de détruire peu à peu les acquis sociaux des
Français comme le souhaitaient toutes les élites capitalistes qui n'avaient pas
pu entreprendre ces réformes
réactionnaires à l'époque du gouvernement antérieur pourtant réputé pour
son mépris du peuple.
C'est donc un socialiste est parvenu
a satisfaire des libéraux au delà de leurs espérances passées et les exemples
ne manquent hélas pas pour dénoncer
ces manoeuvres mais si il fallait nommer des responsables de ces félonies
politiques il serait impossible de ne pas citer après son petit chef, le
premier ministre actuel totalement asservi aux sulfureuses chapelles
atlantistes de ses maîtres, puisqu'il est parvenu à constituer sans réelle
opposition des gouvernements beaucoup plus américains encore que ceux inventés
par le pathétique petit
personnage d'opérette qui sévissait précédemment comme chef de l'état.
Le président Hollande et son
équipe d'imposteurs ont confié les rênes de la nation
à des intérêts des financiers et au patronat mieux que personne ne l'avait
fait auparavant et cette forfaiture leur permet d'être, en compensation, invités très
gracieusement aux différents évènements chics organisés par ces décideurs de l'ultime
qui peuvent ainsi mieux les manipuler et se moquer ouvertement de leur ridicule servilité.
Finalement c'est tout un gouvernement
composé des bouffons d'une gauche qui ose se prétendre socialiste qui est à
présent devenu la risible coqueluche dans les salons parisiens en escroquant leurs
électeurs de la mission qui leur avait été confiée pour enfin rétablir socialement le
déséquilibre
flagrant dont souffre tout le peuple.
Le socialisme Français, par l'intermédiaire son ministre de l'économie, confond
sans équivoque ni honte son rôle avec celui de la droite radicale et provoque
des effets pires encore que ceux produits par les anciens conservateurs de
Matignon et de l'Élysée, seul son très populiste slogan "le changement c'est
maintenant" aura été respecté avec quelques modifications mineures
puisque cette transformation est en effet constatable dans nôtre actualité et
qu'elle est hélas plus que catastrophique.
Quelques fidèles militants
croient encore en un miracle qui pourrait faire basculer leur parti vers une gauche
enfin plus sociale, ils imaginent qu'il est
possible de réformer de l'intérieur le désastre en cours et que les décideurs
de cette stratégie politique vont laisser s'opérer ce virage radical pendant que les
autres s'insurgent.
Ils espèrent en une chimère bancale et leurs
espoirs seront rapidement contrariés par les futures mesures qui seront
promulguées par ce gouvernement
devenu politiquement dyslexique pour encore favoriser le
libéralisme sauvage en sacrifiant des acquis sociaux qui ne sont pas du tout à l'ordre du jours
des impérialismes dominants.
Toute cette mascarade est
évidemment et comme d'habitude soutenue par une grande majorité d'élus de toutes obédiences, par la presse aux ordres de ces mêmes mandarins de l'économie, par les pseudos experts ou
intellectuels autorisés et par les partis
extrémistes qui se réjouissent en cœur d'une déliquescence dont ils
espèrent tous tirer profit.
L'attitude bornée de Bruxelles,
des banques, des gouvernements et du FMI lors de toutes les tentatives de
résolution de la crise Grecque démontre d'une manière claire que ces
institutions ne souhaitent en aucun cas modifier les dispositions scélérates exigées
par les intérêts financiers qui décident des orientations économiques de toute
l'Europe.
Les doctrines libérales atlantistes et l'ensemble des élus qui les soutiennent méprisent et trahissent
ouvertement les peuples Européens en privilégiant uniquement les volontés impérialistes d'une minorité influente dont les buts consistent en la domination et
l'asservissement de tout un continent pour son seul profit.
En d'autres temps une telle
vision hégémonique aurait été qualifiée de totalitaire, avant que les opinions
ne soient formatées par une information mensongère aux ordres des puissances
économiques ou de pseudos spécialistes exclusivement dévoués à des causes qui sacrifient les populations sur l'autel de la consommation et du marché pour
obéir à leurs maitres.
Pourtant, un grand nombre de
consciences à travers le monde dénoncent ces injustices et
s'opposent aux effets qu'elles provoquent mais elles sont délibérément
étouffées par les dictats des pouvoirs qui refusent toutes les négociations
visant à améliorer le quotidien de plus en plus dramatique d'une majorité de
citoyens qui souffrent et perdent tout espoir d'un avenir meilleur.
Les comportements vindicatifs des
gouvernements asservis sont aussi arbitraires que dangereux et l'on peut hélas
se demander à présent si ils ne sont pas en définitive qu'une stratégie
perverse dont le but ultime serait de provoquer des situations
insurrectionnelles de nature a mettre en place une dictature favorable aux
ambitions de contrôles autoritaires des peuples par une élite auto
proclamée.
Si ce plan machiavélique
parvenait à ses fins, la violence espérée par ces architectes
déments d'un futur Orwellien serait un prétexte idéal qui ne
doit surtout pas voir le jour, il est essentiel de résister pacifiquement pour éviter les
fatales conséquences provoquée par ces oligarques illégitimes.
Le modèle proposé par le conseil national de la résistance est une voie qu'il faut considérer et transmettre
afin de permettre que la justice sociale ne soit jamais éradiquée, Stéphane Hessel a témoigné toute sa vie de l'importance des résolutions voulues par
l'union des forces qui s'étaient opposées au nazisme.
Avec d'autres il a
démontré toute l'importance d'un combat dissident, il nous appartient
maintenant de continuer cette mission révolutionnaire pour que ne triomphe pas
une dictature nouvelle, celle du capitalisme sans contrôle.
La Grèce, par sa volonté de
refuser les injonctions de cette Europe marchande, mérite tout notre respect et
un soutien inconditionnel, ce pays est un précurseur que nous devons suivre et
aider car il est à présent un guide précieux pour nôtre avenir.
L'Europe des peuples doit se montrer solidaire
de la cause Grecque en niant l'autorité de ces financiers qui osent présider au
destin d'un pays en imposant des mesures d'austérité pour le seul profit
d'investisseurs avides qui réfutent les élémentaires principes démocratiques
des constitutions modernes.
Nous sommes à un tournant de
notre histoire, négocions le avec la Grèce, indignons nous et désobéissons
ensemble pour construire une Europe qui grâce a ces engagements sera enfin équitable parce que affranchie des
ambitions libérales les plus nuisibles, celle aussi des nations indépendantes et souveraines pour qu'existe enfin demain une véritable démocratie.