La priorité citoyenne devrait consister à s’engager pour mettre un terme au libéralisme qui vassalise le monde en le soumettant à des systèmes économiques qui privilégient uniquement les intérêts des multinationales et des lobbies qu’il contrôle.
L’impérialisme marchand a colonisé la planète sans redistribuer les richesses qu’il a exploités et il n’y aura aucune d’amélioration des conditions de vie de la majorité des humains ou bien entendu de l’état de la planète tant que des financiers feront des profits pour en offrir les dividendes à des partenaires tous complices des crimes sociaux et environnementaux commis au nom du marché.
L’anticapitalisme est donc le socle préalable à toutes les luttes révolutionnaires qui permettraient que changent radicalement les règles imposées par des castes libérales privilégiées qui oppriment délibérément tous les peuples et pillent toutes les ressources pour assouvir leurs seules cupidités maladives.
Tant que le pouvoir politique sera concentré dans les mains et les visions d’une minorité de possédants la justice sociale n’existera pas, il est urgent pendant cette époque de dérives totalitaires que la citoyenneté mette tout en œuvre afin que le peuple utilise son énergie et mette fin à une terrifiante dictature de l’argent.
Ce n’est apparemment pas dans la société libérale et autoritaire de l’apprenti dictateur Macron, fils spirituel mais pas drôle de Thatcher et de Friedman, que se fera une révolution citoyenne de nature à rétablir l’équilibre social de la société française.
La répression violente est bien trop réelle pour imaginer que des contestations pourtant très légitimes parviendraient à contrarier ses pitoyables volontés de souverain domestique piloté par l’actuelle bourgeoisie financière.