Votre morale n'est pas la mienne.
Votre conscience n'est plus la mienne.
Albert Camus
le
parti actuellement au pouvoir en France doit absolument changer de nom puisque celui qu'il
utilise ne correspond en rien à la réalité de ce qu'il prétend être.
En
effet le socialisme recouvre un
ensemble de courants de pensées dont le point commun est de rechercher une
organisation sociale et économique plus juste, soit l'exact inverse de ce que
propose cet exécutif dédié uniquement au libéralisme économique exigé par les
dictats financiers.
Les
avancées sociales favorables à la majorité du peuple sont à présent peu à peu
supprimées pour que seule une minorité profite des dividendes de ces
restrictions drastiques des budgets de l'état et des cotisations imposées aux
entreprises ou aux actionnaires.
Les
avantages accordés aux financiers et au patronat semblent devenir une règle de
gestion pour ces politiciens qui pourtant continuent de se prétendre socialiste
malgré les évidentes preuves d'allégeances a un empire pourtant indubitablement
en déclin ou la démonstration permanente de l'extrême vassalisation politique
de la France aux intérêts atlantistes.
Le
gouvernement Français doit donc être honnête si cette notion ne lui est pas définitivement
étrangère et prendre un nom qui reflète correctement sa piètre gestion d'un
état honteusementperverti par les
nombreux clans mercantiles et idéologiques qui télécommandent son autorité.
Les
luttes sociales passées étaient la dignité de ceux qui souvent les ont fait
aboutir pour que la population soit davantage protégée de la cupidité et de la
dictature, l'actuelle déconstruction de ces avancées majeures est le déshonneur
de ceux qui en usurpent l'histoire au nom d'un parti devenu définitivement
nuisibles aux intérêts citoyens..
Hollande,
Valls, Macron, Fabius et les nombreux autres mercenaires si fidèles aux hypocrisies
politiques organisées pour mieux servir leurs maîtres capitalistes laisseront dans
l'histoire leur noms comme de simples incarnations de la traîtrise du
socialisme qu'ils osent s'attribuer.
Le
mensonge en politique est à l'évidence courant mais ces tristes individus sont
exemplaires de l'indécence portée à son apogée, ils parviennent à faire passer
leurs adversaires pourtant ouvertement bourgeois et réactionnaires pour parfaitement
intègres puisqu'ils ont eux la décence déclarer leurs intentions sans ambiguïté.
Déchéance,
haine, état d'urgence, guerre, insécurité, corruption et autres délices imposés
par ces amateurs des minables dictatures Ubuesques ont hélas pris le pas sur le
droit du travail et de l'emploi, sur l'éducation et la santé, sur la culture et
la diplomatie et c'est sous une étiquette sociale que ces excès sont actuellement
commis.
Il y a 48 ans s'est déroulée une
série d'événements constitués de grèves générales et sauvages ainsi que de
manifestations survenue en France entre mai et juin 1968.
Ces événements constituent une
période et l'une des ruptures marquantes de l'histoire contemporaine française,
caractérisés par une vaste révolte spontanée anti autoritaire, de nature à la
fois culturelle, sociale et politique, dirigée contre la société
traditionnelle, le capitalisme, l'impérialisme et, plus immédiatement, contre
le pouvoir gaulliste en place.
Enclenchée par une révolte de la
jeunesse étudiante parisienne, puis gagnant le monde ouvrier et pratiquement
toutes les catégories de population sur l'ensemble du territoire, elle reste le
plus important mouvement social de l'histoire de France du XXe siècle.
La
situation politique et sociale en France
devrait rappeler au gouvernement actuel
qu'un peuple se
révolte si il est confronté
à l'arrogance irresponsable d'un pouvoir
qui engendre des inégalités
économiques
Mais ce gouvernement "socialiste" qui usurpe son identité de gauche est aveugle aux revendications des citoyens et des électeurs
il n'est dévoué qu'aux intérêts des groupes néos conservateur qui dirigent la "république"
Les images des rues en 2016 ne laissent pourtant aucun doute sur les similitudes des contestations